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La capitale de la région Veurne –Ambacht.
Veurne
fait partie de la côte Ouest Belge. Elle est la capitale de la région
fertile Veune-Ambacht. La grand-Place, bordée par des édifices
élégants en style Renaissance, témoigne toujours du
17ème siècle, qui était l’époque la plus remarquable
dans l’histoire de la ville. Les plus beaux monuments, tels que l’hôtel
de ville, le « Landshuis », l’ancienne halle aux viandes et
La Grande-Garde, datent de cette période.
Veurne
a toujours attiré des artistes. On a l’impression qu’il y a une
atmosphère spéciale que l’on saisit parfaitement dans le
parc, avec la motte du château fort et l’église Ste-Walburge
avec son intérieur remarquable, ou dans les vielles rues.
Le musée de
la boulangerie nous rappelle que les gourmands se sentent chez eux à
Veurne.
De la tour St-Nicolas,
vous aurez la plus belle vue sur la Grand-Place et la région, des
innombrables canaux et fossés.
Si vous voulez recevoir
plus d’informations sur Veurne cliquez sur « Bureau de tourisme.
La Grand-Place
La Grand-Place de Furnes
vient d’être reconstruite. Pourtant, on se croit toujours dans une
ville espagnole. La majestueuse « Furnes espagnole » est embellie
par l’exubérant art décoratif flamand. Vous ne trouverez
pas deux pignons identiques. Les habitants ont peut être raison :
cette place presque carrée est l’une des plus belles de Belgique.
Au
centre de cette ville artistique, l’œil embrasse les principaux monuments.
A l’ouest se dresse l’hôtel de ville, à côté
de l’ancienne Landhuis. Face au Pavillon espagnol dans la Ooststraat, l’ancienne
Halle aux Viandes a été transformée en bibliothèque.
Mais la Grand-Place
n’est pas la seule curiosité. Derrière les façades
de style Renaissance, s’élèvent les formes monumentales de
deux églises gothiques : l’Eglise Saint-Nicolas et l’Eglise Sainte-Walburge.
La Procession des Pénitents
Depuis 1644, des centaines
de pénitents traînent chaque année de lourdes croix
à travers les rues de Furnes. Le personnage du Christ est le plus
impressionnant, ployant sous une croix pesant 40 kg.
Dans
un habit monacal sombre, avec une coiffe rugueuse sur la tête, les
pénitents suivent pieds nus le cortège de superbes chars,
sur lesquels sont représentées des scènes de l’Ancien
et du Nouveau Testament.
La procession est
une preuve évidente de l’influence espagfnole sur la vie des habitants
de Furnes, datant de l’époque où la garnison espagnole était
cantonnée dans leur ville.
Le 26 juillet à
15h30, les porte-croix répondront à nouveau aux paroles de
Jésus : « Que celui qui m’aide porte sa croix et me suive
».
Furnes en 1900
Le 15 août, à Furnes, on remonte presque 100 ans en arrière. Une fête rétro évoque la vie rurale et artisanale de la ville flamande au début de ce siècle. Des scènes réalistes et exubérantes comme la joyeuse entrée de Léopold II remplissent le parc municipal et les rues environnantes d’une agréable nostalgie. Et bien sûr, les délicieuses odeurs de biscuits et « babeluttes » (bonbons) contribuent à le fête.
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Charles Hougardy
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